À l’ombre du roi soleil

Après m’être lancée dans cette année 2024 avec une lecture positive et poétique, j’ai effectué un virage plutôt serré et ai décidé de poursuivre avec un récit beaucoup moins joyeux, avec La chambre des diablesses d’Isabelle Duquesnoy. J’ai quitté le Japon pour voyager dans le temps et l’espace, et plus particulièrement dans les bas-fonds de Paris sous le règne de Louis XIV. C’est là qu’éclata un scandale sans précédent qui fit trembler jusqu’à Versailles, celui de l’affaire des poisons. 

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Jack a lu 3 : Le Club des veuves qui aimaient la littérature érotique

Jack a lu (3) : Le Club des veuves qui aimaient la littérature érotique

Lorsque Nikki se rend au temple pour porter une annonce à la demande de sa sœur, la jeune femme tombe sur une demande qui semble dans ses cordes : « association sikhe recherche animatrice pour atelier d’écriture réservée aux femmes ».
Dans cet épisode de Jack a lu, Mademoiselle Jack vous parle de sa lecture du roman Le Club des veuves qui aimaient la littérature érotique, de Balli Kaur Jaswal, dont Nikki est l’héroïne. Et vous, vous l’avez lu ? N’hésitez pas à nous laisser votre avis en commentaire !

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Mareil sur Rock : voyage en scène inconnue

« Mareil sur Mauldre ». La voix de la SNCF me réveille un peu brutalement. J’attrape mon sac, et fais sursauter un voisin de voyage en sautant du train. Nous sommes le 22 mars, et mon sens de l’orientation boiteux et moi partons à la recherche du festival Mareil sur Rock.

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III

Le premier groupe de metal sensiblement extrême que j’ai écouté est français. Marseillais, même. Il s’agit d’eths. Ils officiaient dans le deathcore, ou le metal moderne, selon où vous regardez. Toujours est-il que je suis incapable de me souvenir de la manière dont j’ai croisé leur musique, à l’adolescence. J’oublierai néanmoins difficilement les grimaces un peu perplexes de mes aprents devant « Sôma » et la compilation « Autopsie »/ »Samantha ». On parie qu’ils s’en souviennent aussi ?

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Une critique dans le brouillard

Comme le titre vous l’a peut-être laissé deviner, je suis perplexe. Pourtant, je pensais miser sans risque sur une lecture sûre. Déjà, un livre de Malika Ferdjoukh. J’adore cette autrice, son humour et son amour des prénoms alambiqués. J’étais d’autant plus enthousiaste que « Griffe » est un roman policier. Ô joie, Ô bonheur, j’adore les romans policiers. Ce cocktail ne pouvait que faire des étincelles.

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Jack a lu (2) : Le Sang des Belasko, Chrystel Duchamp

Jack a lu (2) : Le Sang des Belasko

Au centre du roman « Le Sang des Belasko », de Chrystel Duchamp, se tient une famille marquée par un décès. Mais quand la fratrie se réunit, cette situation déjà pénible se transforme en huit-clos qui révèle soupçons et frustrations. Mademoiselle Jack revient sur sa lecture de ce polar dans un nouvel épisode de Jack a lu.

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Avec quelle lecture commencer l’année ?

Avec quelles lectures commencer l’année ? C’est peut-être un détail pour vous, mais pour moi ça veut dire beaucoup. Franchement, commencer l’année avec un livre médiocre, c’est un coup à me donner le cafard pendant des semaines. J’ai voulu jouer la sécurité en choisissant un livre classé depuis un certain temps sur ma pile à lire : « La Papeterie Tsubaki », de Ito Ogawa.

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Contes sans frontières

Il paraît qu’il ne faut pas juger un livre à sa couverture. Quand j’ai jeté un coup d’oeil à la couverture de « The Magic Fish », de Trung Le Nguyen, je me suis dit que j’allais passer un agréable moment de lecture, en profitant de belles illustrations. J’avais tort. Cette BD représente beaucoup plus et le dessin est absolument somptueux. L’auteur aborde ici avec délicatesse et finesse les thèmes de l’immigration, de la transmission, de la famille et de l’homosexualité en s’appuyant sur l’un des plus beaux exemples de tradition orale et universelle : les contes.

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La méthode Kevin Tran

Je ne sais pas vous, mais j’ai souvent eu du mal à aller au bout de mes projets. En fait, je peux compter sur les doigts d’une main (de Django Reinhardt) le nombre de projets, d’idées ou d’envies que j’ai réussi à pousser jusqu’au bout. Pourquoi ? Déjà parce que je me décourage aussi vite que je m’enthousiasme, mais aussi parce que je suis une procrastinatrice patentée. J’irais bien réclamer une médaille de la procrastination, ou du moins un diplôme…mais pas aujourd’hui. Demain, j’irai. Là, j’ai la flemme. Vous voyez le tableau…

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