Japon, XXIIIe siècle. Kaori Yoshida passe le plus clair de son temps en ligne. Dans sa vie professionnelle, participant aux développements de mondes virtuels, et dans sa vie privée. Notre héroïne est du genre extrêmement anxieuse et porte une phobie sociale sévère. Moralité ? La vie est plus facile à gérer dans sa déclinaison virtuelle. Jusqu’à l’arrivée d’une charmante historienne et d’un lot d’ennuis au travail qui bouleverseront son équilibre. Retour sur la lecture du roman « Inline », de Lena Clarke, publié aux éditions Reines de Coeur.
Auteur : Aleksandra Duncan

Charlotte Bio : une marque pleine de potentiel
Depuis un moment, je voulais tester une marque de maquillage bio. Outre le souci éthique, j’avais envie de voir comment les matières résistent et évoluent sur une journée. Le hasard a fait que je suis tombée sur la marque française Charlotte Bio alors que j’étais en panne de quelques petites choses. À la sortie, il y a quelques bonnes surprises et un ratage.

J’en ai marre et je me tire à Disneyland
Ou presque. Parce qu’on va pas se mentir, ça me ferait un petit budget à chaque crise de nerf… Ma solution intermédiaire pour un shoot de mignon ? Disney Dreamlight Valley, un croisement entre Animal Crossing (dont je me suis copieusement lassée) et Stardew Valley (qui n’a pas réussi à m’attraper) avec une pincée de quêtes en plus. Et une demi-tonne de personnages Disney et Pixar, aussi.

Radio Ilmi #1 : De l’art de la critique
Radio Ilmi’, c’est aussi le nom que nous avons donné à un rendez-vous live fraîchement mis en place. Accompagnées d’un invité, Mademoiselle Jack et moi abordons un thème précis. Ici, l’exercice de la critique dans le domaine de la culture. Au micro : Emmanuel, critique notamment pour Olyrix.

Devenir
Et non, on ne va pas parler de Michelle Obama, mais de la première bande-dessinéee de l’illustratrice Joanna Folivéli. Elle est arrivée dans ma bibliothèque à la fin de l’automne. C’est tout à fait une façon détournée de reconnaître que j’ai plus que pris mon temps pour vous en parler ! La BD, éditée par l’association Deux Points Éditions, aborde les réflexions et l’expérience de femme trans de l’artiste dans un monde qui n’est pas toujours évident à naviguer.

Coup de soleil et spleen-toboggan
Mi juin, les fesses dans l’herbe et des mots-fléchés sur les genoux, je vis ma meilleure vie. Depuis trois ans, je passe à côté de tous leurs concerts alors, cette fois, je me suis même installée avec un peu d’avance. Suffisamment pour que mes tibias commencent à crépiter sous le Soleil. Je commence à considérer la petite tranche d’ombre que font les dossiers de deux fauteuils gonflables quand le concert commence. Tant pis pour mes mollets…

Celle qui murmurait à l’oreille des ours
Le béret vissé sur la tête et l’écharpe impeccablement repassée, nous voilà partis sur une mer un poil agitée. Direction Cozy Grove, pour mettre en pratique les enseignements de Scouts à l’écoute et apaiser les fantômes locaux. Le problème ? J’ai le mal de mer, je ne sais pas nager et notre barque vient de s’éclater sur la plage.

Glow-up
Peut-être une fois tous les dix ans, j’ai une lubie. Je mets le nez dans un Sephora avec pour objectif de me trouver une routine maquillage stable, que ma peau ne rejette pas en bloc et qui ne me donne pas l’impression de porter un masque. La dernière fois, qui s’est soldée par un KO, remonte à ma première année de fac. Cette fois, masque à gaz vissé sur le museau, je me suis mis en quête de la marque Rare Beauty de Selena Gomez.

La dame des Halles
Elle s’est installée pendant l’Été. Celle que j’appelle la dame de Châtelet est le personnage central d’une fresque de l’artiste plasticien Hopare. Installée dans le Forum des Halles, on la découvre depuis les hauteurs ou, par surprise, en la foulant du bout des pieds. Hopare a accepté, à l’occasion d’une interview, de revenir sur la création de sa fresque éphémère.

Chienne de vie
“My Broken Mariko” est un trigger à lui tout seul. Conçu par Waka Hirako, ce manga aborde coup sur coup la mort, le suicide, les violences familiales, les violence conjugales et le viol. La lecture a quelque chose du virage pris beaucoup trop vite, de la descente de montagne-russe trop violente, qu’on arrêterait pourtant pour rien au monde.

[Inside Ilmi’#1] Le retour
« Atchoum ! » Une résonance inattendue me réponds. « Dites, on est parti il y a si longtemps ? »

Savoir s’arrêter
Assise dans le canapé, j’ai les yeux sur rivés sur la télévision. Cela fait déjà quelques jours que je dédis mes pauses déjeuner à rattraper mon retard d’une série que j’adore. Et me voilà, les yeux ronds, à me répéter mentalement que “non, ils n’iront pas zigouiller leur premier rôle”.