Dans « Mauvais Cœur », nous suivons l’enquêteur Matthias Lavau, rencontré dans le précédent roman d’Audrey Brière, « Les Malvenus ». Matthias a quitté son village natal et se retrouve plongé au sein du Familistère de Guise. Il va devoir découvrir le secret qui se cache derrière le meurtre d’un membre de cette communauté.
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“De chair et de papier” : la faille des Farnell
« De chair et de papier » est la première publication de Fabienne Berganz, par ailleurs traductrice de romans et de campagnes de jeux de rôle. Cette nouvelle fantastique, parue chez Reines de Coeur, met en scène Myriam Farnell. Vivant isolée dans un manoir en compagnie de ses tantes et de sa mère, elle va faire dans les jardins une rencontre étrange. Après lecture, une question subsiste : qui du bâtiment ou des Farnell est vraiment hanté ?
Terrible : L’enfant, la jeune fille et la sorcière
Je me suis rendue compte récemment que j’avais peu chroniqué de BD sur Ilmi’, alors que j’en lis pourtant une certaine quantité, et que j’ai pu découvrir de véritables pépites. J’ai un faible pour le travail d’Hubert, notamment les séries « Beauté » et « Les Ogres-dieux » dont je reparlerai peut-être à l’occasion (si jamais je ne le fais pas, foncez et lisez-les, c’est génial). (Vraiment).Mais revenons-en à nos moutons. Enfin, à notre BD : « Terrible », de Gaël Henry.
« Voyageuse » : finir en beauté
L’autrice Iman Eyitayo revient le 3 octobre pour donner fin à sa trilogie fantastique «Voyageuse», avec le tome “Magie ancestrale. Elle avait laissé son héroïne, Kanyin, dans une situation plus que délicate à la fin du volume précédent. Notre mission, vous faire un retour de lecture en réduisant au minimum le divulgâchage. Revenons d’abord aux bases : qu’est-ce qu’une voyageuse, et qui est cette fameuse Kanyin ?
« The Last Kamit » : Une question de foi
Voilà déjà quelques temps que je parle de remettre le nez dans le domaine des mangas. « The Last Kamit », créé par Michael Damby et Dwen Uno, a été la porte d’entrée parfaite. Ils font se croiser comics et manga. La série, qui se déroule à travers l’Afrique, propose un univers extrêmement riche. Elle est portée par Dashicray Production Publishing Studio, qui le qualifie d’afromanga.
Jack a lu (5) : Le bureau des affaires occultes
Et c’est avec Le Bureau des affaires occultes, d’Éric Fouassier que notre série « Jack a lu » touche à sa fin. Notre lectrice olympique échange en effet son badge pour prendre celui de Theomus. Elle nous parle aujourd’hui d’une lecture avec laquelle la relation a été… Compliquée ! Sans plus de divulgâchis, découvrez ce dernier retour de lecture de la série !
Poireaux saignants
Retour dans les allées de l’Extreme Market du Hellfest 2024. Je passe distraitement devant des livres et mes yeux rencontrent « L’affaire du poireau vinaigrette », d’Heckle Freux. Un rire m’échappe et je m’entends lui demander ce que ce pauvre légume a bien pu lui […]
Diag Race : le soin par l’imaginaire
Diag Race, c’est le nom du zine créé par Florence Rivières et Coline Sentenac, respectivement à l’écriture et à la photographie. Il est publié chez Le Maquis. Trois nouvelles explorent le rapport entre médecine, physique ou psychologique, et patientèle.
Ilmi’ part en live : On adore la lecture, mais…
Le 7 avril 2024, Mademoiselle Jack, Azariah Kyros et moi nous sommes retrouvés pour un live sur Twitch. Une éternité que ce n’était plus arrivé. Au programme, de la lecture – dans ce que l’activité a de bien, mais surtout dans ce qu’on ne voudrait plus voir. Retrouvez ci-dessous le replay du live.
Jack a lu (2) : Le Sang des Belasko
Au centre du roman « Le Sang des Belasko », de Chrystel Duchamp, se tient une famille marquée par un décès. Mais quand la fratrie se réunit, cette situation déjà pénible se transforme en huit-clos qui révèle soupçons et frustrations. Mademoiselle Jack revient sur sa lecture de ce polar dans un nouvel épisode de Jack a lu.
Comment continuer après un succès ?
C’est la question que je me suis posée en voyant que Christelle Dabos revenait avec un nouveau livre intitulé Ici et seulement ici.
Contes sans frontières
Il paraît qu’il ne faut pas juger un livre à sa couverture. Quand j’ai jeté un coup d’oeil à la couverture de « The Magic Fish », de Trung Le Nguyen, je me suis dit que j’allais passer un agréable moment de lecture, en profitant de belles illustrations. J’avais tort. Cette BD représente beaucoup plus et le dessin est absolument somptueux. L’auteur aborde ici avec délicatesse et finesse les thèmes de l’immigration, de la transmission, de la famille et de l’homosexualité en s’appuyant sur l’un des plus beaux exemples de tradition orale et universelle : les contes.
