Et c’est avec Le Bureau des affaires occultes, d’Éric Fouassier que notre série « Jack a lu » touche à sa fin. Notre lectrice olympique échange en effet son badge pour prendre celui de Theomus. Elle nous parle aujourd’hui d’une lecture avec laquelle la relation a été… Compliquée ! Sans plus de divulgâchis, découvrez ce dernier retour de lecture de la série !
Auteur : Theomus
Ordinaire…. Vraiment ?
Hervé a 63 ans et une vie plutôt… Banale. Retraité, il vit à Alfortville avec sa femme et leur chien. Il pourrait être n’importe qui, croisé au détour d’une rue ou d’un métro. C’était sans compter sur l’arrivée de nouveaux voisins, qui va raviver des sentiments mis sous clefs. Hervé est le héros du premier roman d’Audrey Najar, « Ordinaire », dont Mademoiselle Jack vous parle ce soir.
Une nuit hors du temps
Les miracles du bazar Namiya de Keigo Higashino. J’ai rencontré ce livre un peu par hasard, comme beaucoup de belles rencontres, au détour d’une étagère. Je connaissais déjà la plume de l’auteur, mais dans un autre genre, celui du roman policier. Je vous recommande d’ailleurs la série des enquêtes du Physicien Yukawa, et plus particulièrement le tome Un café maison, qui m’a bouleversée. Ici, nous sommes dans un registre assez différent où je ne l’attendais pas forcément.
À l’ombre du roi soleil
Après m’être lancée dans cette année 2024 avec une lecture positive et poétique, j’ai effectué un virage plutôt serré et ai décidé de poursuivre avec un récit beaucoup moins joyeux, avec La chambre des diablesses d’Isabelle Duquesnoy. J’ai quitté le Japon pour voyager dans le temps et l’espace, et plus particulièrement dans les bas-fonds de Paris sous le règne de Louis XIV. C’est là qu’éclata un scandale sans précédent qui fit trembler jusqu’à Versailles, celui de l’affaire des poisons.
Jack a lu (3) : Le Club des veuves qui aimaient la littérature érotique
Lorsque Nikki se rend au temple pour porter une annonce à la demande de sa sœur, la jeune femme tombe sur une demande qui semble dans ses cordes : « association sikhe recherche animatrice pour atelier d’écriture réservée aux femmes ».
Dans cet épisode de Jack a lu, Mademoiselle Jack vous parle de sa lecture du roman Le Club des veuves qui aimaient la littérature érotique, de Balli Kaur Jaswal, dont Nikki est l’héroïne. Et vous, vous l’avez lu ? N’hésitez pas à nous laisser votre avis en commentaire !
Une critique dans le brouillard
Comme le titre vous l’a peut-être laissé deviner, je suis perplexe. Pourtant, je pensais miser sans risque sur une lecture sûre. Déjà, un livre de Malika Ferdjoukh. J’adore cette autrice, son humour et son amour des prénoms alambiqués. J’étais d’autant plus enthousiaste que « Griffe » est un roman policier. Ô joie, Ô bonheur, j’adore les romans policiers. Ce cocktail ne pouvait que faire des étincelles.
Jack a lu (2) : Le Sang des Belasko
Au centre du roman « Le Sang des Belasko », de Chrystel Duchamp, se tient une famille marquée par un décès. Mais quand la fratrie se réunit, cette situation déjà pénible se transforme en huit-clos qui révèle soupçons et frustrations. Mademoiselle Jack revient sur sa lecture de ce polar dans un nouvel épisode de Jack a lu.
Avec quelle lecture commencer l’année ?
Avec quelles lectures commencer l’année ? C’est peut-être un détail pour vous, mais pour moi ça veut dire beaucoup. Franchement, commencer l’année avec un livre médiocre, c’est un coup à me donner le cafard pendant des semaines. J’ai voulu jouer la sécurité en choisissant un livre classé depuis un certain temps sur ma pile à lire : « La Papeterie Tsubaki », de Ito Ogawa.
Comment continuer après un succès ?
C’est la question que je me suis posée en voyant que Christelle Dabos revenait avec un nouveau livre intitulé Ici et seulement ici.
Contes sans frontières
Il paraît qu’il ne faut pas juger un livre à sa couverture. Quand j’ai jeté un coup d’oeil à la couverture de « The Magic Fish », de Trung Le Nguyen, je me suis dit que j’allais passer un agréable moment de lecture, en profitant de belles illustrations. J’avais tort. Cette BD représente beaucoup plus et le dessin est absolument somptueux. L’auteur aborde ici avec délicatesse et finesse les thèmes de l’immigration, de la transmission, de la famille et de l’homosexualité en s’appuyant sur l’un des plus beaux exemples de tradition orale et universelle : les contes.
La méthode Kevin Tran
Je ne sais pas vous, mais j’ai souvent eu du mal à aller au bout de mes projets. En fait, je peux compter sur les doigts d’une main (de Django Reinhardt) le nombre de projets, d’idées ou d’envies que j’ai réussi à pousser jusqu’au bout. Pourquoi ? Déjà parce que je me décourage aussi vite que je m’enthousiasme, mais aussi parce que je suis une procrastinatrice patentée. J’irais bien réclamer une médaille de la procrastination, ou du moins un diplôme…mais pas aujourd’hui. Demain, j’irai. Là, j’ai la flemme. Vous voyez le tableau…
Jack a lu (1) : La maîtresse des épices
Là, assise dans son fauteuil, elle se gratte la tête. Le volume sur ses genoux est terminé et une question accompagne la couverture refermée. « Et maintenant, qu’est-ce que je lis ? » Elle, c’est Mademoiselle Jack, qui vous emmène faire un tour dans sa bibliothèque mentale. Bienvenue dans le premier épisode de ‘Jack a lu’, consacré à La maîtresse des épices, de Chitra Banerjee Divakaruni.
