Dans le podcast sur la série Le Parfum, j’avais fait un parallèle entre les coups de foudre littéraires et les coups de foudre amoureux. Comme les histoires d’amour finissent mal (en général), on éprouve aussi des chagrins littéraires. Malheureusement .
Auteur : bljack14

Thriller fantastique
Mes lectures sont souvent le fruit du hasard. J’aime piocher à l’aveugle sur les rayons des bibliothèques et faire confiance à la chance. C’est comme ça que le premier Cédric Sire, « Vindicta », est arrivé entre mes mains. D’ailleurs cette lecture m’a plu et m’a donné envie de découvrir l’auteur avant sa mue, Sire Cédric, maître du polar fantastique. J’ai commencé par lire « Avec tes yeux », dont j’ai apprécié l’intrigue, mais qui ne m’a pas entièrement convaincue. Je me suis ensuite tournée vers les aventures de son héroïne récurrente, Eva Svarta, avec l’ouvrage “ Le Premier sang”.

Thriller médical ?
Tout commence par une opération de routine, un cas banal comme les hôpitaux en soignent par centaines. Cas d’autant plus anodin qu’il se présente au Boston Memorial Hospital, insitution à la pointe de la modernité et de la technologie. Pourtant, lorsque qu’un cas “banal” se situe au début d’un roman étiqueté thriller, c’est qu’il est destiné à ne pas le rester. Et, malheureusement pour le patient, celui-ci se métamorphose en drame.

Maladroite ?
De tous les exercices littéraires, l’écriture d’un roman issu d’un fait divers me semble des plus délicats. Comment ne pas tomber dans le pathos ? Ne pas se rouler dans le misérabilisme de bas étage ? Comment retranscrire avec justesse cette idée de la vie ordinaire qui bascule, d’un seul coup, dans le drame ? Alexandre Seurat a osé s’y attaquer avec un premier roman audacieux sur le thème difficile de la maltraitance infantile.

Évasion
C’est l’histoire d’un cirque mystérieux et féerique. Il arrive sans prévenir et se dresse d’un coup sans que personne ne l’ait vu s’installer. A minuit, ses portes s’ouvrent et permettent aux visiteur d’assister à des numéros plus féeriques les uns que les autres, de déambuler entre d’incroyables pavillons et de toucher du doigt le merveilleux. Le Cirque des rêves est ainsi fait : il ne ressemble à aucun autre et les visiteurs en ressortent tous profondément marqués.

Hommage ou dommage ?
Cet Hiver, Miss Jack se baladant sur Netflix découvre que l’un de ses romans favoris a été adapté en série. L’occasion pour elle et Max d’ouvrir leur vidéo-club afin de passer au microscope la série ‘Le Parfum’ et de se replonger dans le roman éponyme de Patrick Süskind.

Équation mystère
a lecture de cet ouvrage découle à la fois d’un projet et du hasard. D’un projet qui était de me pencher sur les grands noms du polar francophone. Du hasard, car face à un tel projet, je ne savais pas où commencer. J’ai tenté d’attaquer une aventure de Maigret, mais à ma grande honte le livre m’est littéralement tombé des mains. Fort heureusement, j’ai pioché dans une étagère Six crimes sans assassins de Pierre Boileau, qui m’a permis d’avancer dans ma quête et d’acquérir des points d’expérience (youpi !).

Vengeance
Je me méfie des quatrièmes de couverture. Je déteste avec passion celles qui vous dévoilent les trois quarts de l’intrigue avant même que vous ayez ouvert le livre. Je méprise profondément celles qui ne comportent que quelques phrases « accrocheuses » à la manière d’une bande annonce de film.

L »île mystérieuse
Kokoro et sa soeur Yume, aveugle de naissance, sont envoyés dans un centre de réadaptation après la disparition de leur mère. Situé sur une île, ce mystérieux centre ne comporte que quatre autres élèves et autant d’enseignants. Ils ne tardent pas à découvrir qu’un danger semble planer sur les élèves.

Comment ne pas mener l’enquête
Il n’est pas anodin pour un polar américain de porter le nom de Clark. Quand il s’affiche en grandes lettres sur une couverture, on pense tout de suite à un des poids lourds du genre : Mary Higgins Clark, véritable championne des ventes dans le monde entier.

A point nommé
Ils sont quatre, ils sont scénaristes et surtout, ils sont dans la mélasse jusqu’au coup. Alors quand le responsable d’une chaîne fait appel à eux du fond de leur désespoir, ils n’hésitent pas une seule seconde.

La méthode Sakamoto
Cette série en quatre tome ne se savoure qu’accompagnée d’un solide second degré. Voire d’un troisième. Si l’exagération vous déplait, que les clichés sur la vie scolaire japonaise vous donnent la nausée, n’ouvrez surtout pas ce livre qui en est plein jusqu’à la tranche.