« Une cour sans femme, c’est comme un jardin sans fleur », disait François Ier, dont les multiples butinages sont restés dans les annales. C’est aussi l’une des citations qui ouvrent le livre de Bernadette de Castelbajac, dédié aux (très) nombreuses dames et demoiselles d’honneur ayant servi les reines de France, depuis Isabeau de Bavière, épouse de Charles VI jusqu’à Marie-Antoinette.
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Figure paternelle
C’est le renard qui m’a attiré l’œil. Dans la librairie, la bestiole me faisait signe avec son museau pointu et son air un peu narquois. Et puis mes yeux sont passés du héros à la tempête infernale sur ses épaules. En retournant le livre, j’ai compris que je m’engageais dans une histoire de famille difficile, racontée avec beaucoup de poésie.

La Tisseuse de monde
Vous connaissez peut-être ce sentiment. En démarrant un livre, vous êtes intrigué. Et d’un coup, vous tombez dedans façon Alice au Pays des Merveilles. C’est un peu ce qui s’est passé à la lecture du dernier roman d’Erin Morgenstern, La Mer sans étoiles. Et je sens que j’ai encore un pieds dedans.

Progressions croisées
Le 9 septembre, les éditions Alisio publiait la traduction française du dernier livre d’Ibram X. Kendi, Comment Devenir antiraciste. Une lecture qui explore la construction et les expressions du racisme, pour mieux le contrer.

Thriller fantastique
Mes lectures sont souvent le fruit du hasard. J’aime piocher à l’aveugle sur les rayons des bibliothèques et faire confiance à la chance. C’est comme ça que le premier Cédric Sire, « Vindicta », est arrivé entre mes mains. D’ailleurs cette lecture m’a plu et m’a donné envie de découvrir l’auteur avant sa mue, Sire Cédric, maître du polar fantastique. J’ai commencé par lire « Avec tes yeux », dont j’ai apprécié l’intrigue, mais qui ne m’a pas entièrement convaincue. Je me suis ensuite tournée vers les aventures de son héroïne récurrente, Eva Svarta, avec l’ouvrage “ Le Premier sang”.

Thriller médical ?
Tout commence par une opération de routine, un cas banal comme les hôpitaux en soignent par centaines. Cas d’autant plus anodin qu’il se présente au Boston Memorial Hospital, insitution à la pointe de la modernité et de la technologie. Pourtant, lorsque qu’un cas “banal” se situe au début d’un roman étiqueté thriller, c’est qu’il est destiné à ne pas le rester. Et, malheureusement pour le patient, celui-ci se métamorphose en drame.

Maladroite ?
De tous les exercices littéraires, l’écriture d’un roman issu d’un fait divers me semble des plus délicats. Comment ne pas tomber dans le pathos ? Ne pas se rouler dans le misérabilisme de bas étage ? Comment retranscrire avec justesse cette idée de la vie ordinaire qui bascule, d’un seul coup, dans le drame ? Alexandre Seurat a osé s’y attaquer avec un premier roman audacieux sur le thème difficile de la maltraitance infantile.

Évasion
C’est l’histoire d’un cirque mystérieux et féerique. Il arrive sans prévenir et se dresse d’un coup sans que personne ne l’ait vu s’installer. A minuit, ses portes s’ouvrent et permettent aux visiteur d’assister à des numéros plus féeriques les uns que les autres, de déambuler entre d’incroyables pavillons et de toucher du doigt le merveilleux. Le Cirque des rêves est ainsi fait : il ne ressemble à aucun autre et les visiteurs en ressortent tous profondément marqués.

Équation mystère
a lecture de cet ouvrage découle à la fois d’un projet et du hasard. D’un projet qui était de me pencher sur les grands noms du polar francophone. Du hasard, car face à un tel projet, je ne savais pas où commencer. J’ai tenté d’attaquer une aventure de Maigret, mais à ma grande honte le livre m’est littéralement tombé des mains. Fort heureusement, j’ai pioché dans une étagère Six crimes sans assassins de Pierre Boileau, qui m’a permis d’avancer dans ma quête et d’acquérir des points d’expérience (youpi !).

Vengeance
Je me méfie des quatrièmes de couverture. Je déteste avec passion celles qui vous dévoilent les trois quarts de l’intrigue avant même que vous ayez ouvert le livre. Je méprise profondément celles qui ne comportent que quelques phrases « accrocheuses » à la manière d’une bande annonce de film.

L »île mystérieuse
Kokoro et sa soeur Yume, aveugle de naissance, sont envoyés dans un centre de réadaptation après la disparition de leur mère. Situé sur une île, ce mystérieux centre ne comporte que quatre autres élèves et autant d’enseignants. Ils ne tardent pas à découvrir qu’un danger semble planer sur les élèves.

Comment ne pas mener l’enquête
Il n’est pas anodin pour un polar américain de porter le nom de Clark. Quand il s’affiche en grandes lettres sur une couverture, on pense tout de suite à un des poids lourds du genre : Mary Higgins Clark, véritable championne des ventes dans le monde entier.