Vous ai-je déjà dit qu’il faut toujours se méfier des quatrièmes de couverture ? Oui ? Eh bien Je vais le répéter tout de même. On ne se méfie jamais assez d’une quatrième de couverture. Celle de ce roman est d’ailleurs à l’origine d’un énorme malentendu. En effet, dans cette quatrième de couverture traitre, il est fait mention d’un meurtre que le héros du roman devra résoudre. Je pensais donc avoir affaire à un polar. J’ai entamé ma lecture avec enthousiasme, mais j’ai vite trouvé que le cadavre se faisait attendre.