Mi juin, les fesses dans l’herbe et des mots-fléchés sur les genoux, je vis ma meilleure vie. Depuis trois ans, je passe à côté de tous leurs concerts alors, cette fois, je me suis même installée avec un peu d’avance. Suffisamment pour que mes tibias commencent à crépiter sous le Soleil. Je commence à considérer la petite tranche d’ombre que font les dossiers de deux fauteuils gonflables quand le concert commence. Tant pis pour mes mollets…