L’humain photogénique (2014)

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Photographie

A l’occasion du vernissage de son exposition à Montreuil (à The Tattooed Lady), j’ai eu l’occasion de discuter avec [zOz], photographe événementiel, notamment.


D’abord la question qui tue : pourquoi [zOz] ?

J’ai un prénom hyper commun. Tu sais que, par tranche d’âge, des prénoms sont récurrents. Moi, c’est Stéphane et il y en à la pelle en 1972. Pendant ma scolarité, dans chacune de mes classes, nous étions à chaque fois au moins deux. Arrivé à l’adolescence, quand nous traînions entre potes métalleux, on n’était pas deux ou trois mais plutôt cinq, voire six ! C’est un petit peu gênant… On a donc décidé d’affubler chacun d’un pseudo en lien avec un groupe ou un artiste dont il était fan. Il y avait un Bruce, comme Dickinson, et moi c’était Ozzy, comme Osbourne, parce que j’étais grand fan de Black Sabbath et du mythique chanteur dont je continuais à suivre la carrière solo. Ainsi, on m’a longtemps appelé Ozzy. C’est une bonne dizaine d’années plus tard que d’autres amis, trouvant Ozzy trop impersonnel, l’ont raccourci en zOz. Je l’ai gardé comme pseudo de photographe, c’est un véritable clin d’oeil à l’amitié.

C’est sympa ! Puisque tu es photographe : quel a été ton premier contact avec la photo dans son ensemble ?

Pour ce qui est du tout premier contact, j’en sais trop rien. Il y a certainement eu le Polaroïd ou d’autres formats typiques des années 1970, utilisés dans ma famille et qui faisaient forcément rêver les gamins. Le premier dont je me rappelle vraiment… Il est double en fait. Il y a deux choses qui m’ont mené à la photographie. À 11 ans, dès que j’avais un après-midi de libre, j’allais dans le centre ville d’Annecy. À l’entrée de la vieille-ville, il y a ce que nous appelons la «croix piétonne» avec au milieu le Puits Saint Jean. J’y passais des heures à regarder les gens passer et vivre. Je pense que, d’un point de vue philosophique, ça a été sans doute ma première approche photographique. Pour moi la photo et l’humain sont étroitement liés : c’est l’humain qui m’a amené à la photo et non l’inverse. Après, mon premier contact avec l’art photographique, c’était plus à travers les magazines spécialisés feuilletés dans les tabacs-presses, j’avais à peine 10 ans. Concernant le premier contact avec l’appareil en lui-même, j’avais 20 ans. J’ai pris ma première pellicule à ce moment-là, lorsque j’ai intégré une MJC en tant qu’objecteur de conscience, ça existait encore à l’époque. En fait, quand tu ne voulais pas faire l’armée en tant que militaire tu pouvais la faire dans le civil, dans une structure associative ou administrative de ton choix. J’ai choisi la MJC des Romains qui était celle de mon quartier, tout simplement. Il y avait un atelier photo là-bas qui était tenu par un photographe amateur. J’ai fait mes « premiers pas » avec un appareil qui n’était pas le mien, quelques pellicules noir et blanc. J’y ai fait mes premiers traitements papiers aussi. Un an plus tard, le photographe ne pouvait plus animer l’atelier. Il est venu vers moi en me disant : « Je pense que tu es prêt et que tu peux prendre la relève ». J’étais plutôt étonné : « Ça fait un an que j’ai commencé, de quoi tu parles ? ». Il a insisté en disant que j’étais pédagogue, que je m’exprimais bien et que j’avais très vite appris. Du coup je me suis retrouvé animateur de cet atelier après un an de photo. Ça a été un premier élément déclencheur. L’année suivante, lors d’une de ses toutes dernières expositions, j’ai eu la chance de rencontrer Robert Doisneau. Ça a été certainement l’ultime déclic, même si je m’en suis rendu compte que bien plus tard. Avant de commencer, tu me demandais une citation… Et bien, la première qui a vraiment provoqué un déclic en moi est de Doisneau. Il me l’a donné comme ça : je me suis pointé tout timide, avec une petite affiche de son exposition, impressionné par le bonhomme qui était d’une humilité, d’une sagesse et d’une gentillesse extrêmes. Je me suis présenté en disant que je ne voulais pas un autographe, je n’aimais pas ce genre de chose. Je lui ai expliqué que j’encadrais un atelier photo dans une MJC et lui ai demandé s’il pouvait écrire un petit mot, une sorte de conseil qu’il pourrait apporter aux membres de mon atelier, sur l’affiche. Il a alors écrit ceci : « Regarder, regarder jusqu’à en être ivre ». Pour moi, il ne pouvait pas dire mieux. C’était déjà ma vision de la photographie en quelque sorte : l’ivresse du regard, regarder les gens. Lui aussi était très attaché à l’humain. Cette rencontre a été un bonheur.

J’allais y venir justement mais…

[rire] Eh, j’anticipe ! C’est aussi ça le propre du photographe. On passe à la question 12 ?


Presque ! Ton rapport à l’affecte et à l’humain a l’air visiblement très fort et très important. C’est le premier détail de ta biographie sur internet je crois.

C’est primordial oui. C’est la première chose et c’est pleinement voulu ainsi. Comme je disais tout à l’heure, au delà de la citation de Doisneau, j’ai mes deux maximes et celles-ci sont tournées vers l’humain. La première est devenue le « slogan » de mon site : la photographie n’étant qu’un prétexte, elle est mon art d’aimer. Tout est dit dans cette phrase. Pour moi la photographie est vraiment un prétexte, une façon d’exprimer une chose que nous avons tous, je pense, du mal à dire. C’est difficile de dire à une personne « je t’aime » et, même s’il ne me le rend pas forcément très bien, j’aime l’humain. C’est un enfoiré, on voit ce qu’il fait à la planète et aux autres mais je l’aime. Quand il est dans une démarche de création, de partage, dans une optique positive, il peut exceller. Le problème c’est qu’il en est tout autant capable dans le mal ; il en devient fascinant. En psychologie, on parle de cas d’études : l’Homme en est un par excellence et c’est génial. La photo est une façon plus facile de parler de ce qui me touche chez l’Homme, en bien. Le mal ne m’intéresse pas trop. Je pourrais en faire des reportages… Je me décris plus comme un reporter, à l’origine d’ailleurs, j’essaie d’y apporter une dimension artistique. C’est peut-être pour ça que mes photos de concerts sont un peu différentes de ce qu’on voit habituellement. J’essaie d’y apporter une sensibilité et une touche artistique, une patte particulière. J’y dévoile une part de mes émotions. Cela dit, je n’ai pas envie de faire du reportage de guerre, de photographier des SDF… Ou alors, ce sera dans une démarche artistique, pour montrer quelle beauté se dégage de ces êtres ; la misère n’est pas forcément là où nous voulons bien la voir. C’est ce qui m’intéresse : dire que l’Homme est un être magnifique, quand il le veut en tous cas. Ma seconde maxime est plus en rapport avec le rôle que je joue : le photographe est un artisan de l’ombre dont l’art est de mettre en lumière autrui. C’est ça mon rôle. Je suis qui, moi ? Personne, juste une fourmi parmi 7 milliards d’autres. Par contre, les 7 milliards que nous sommes représentons autant d’individualités, de personnalités et de richesses. Ma motivation n’est pas de parler de moi. Je le fais forcément à travers mon regard, je me dévoile énormément quand je publie une photo, finalement. Je n’ai donc pas besoin de parler plus de moi. Ce qui m’intéresse, c’est de montrer qu’en chacun de nous, ces 7 milliards d’autres et d’êtres, il y autant d’individualités, de forces, de faiblesses et d’émotions. J’ai envie de mettre ça en avant. Pour cela il faut que je m’efface au maximum.

Eh bien. Autre chose: es-tu plutôt argentique ou numérique ? (NDLR : ma question ne demande rien d’autre que son point de vue sur la chose, son expérience. Il n’est pas question de « mieux ».)

J’ai pratiqué les deux. J’ai fait quinze ans d’argentique avant de passer au numérique. En terme d’années d’expérience, l’argentique représente le double du numérique. En terme de déclenchements par contre, non. J’ai fait bien plus de numérique. C’est la force de ce support, même si ça coûte le même prix voire plus cher. La différence c’est qu’avec le numérique tu as un investissement de base et tu vas réinvestir de temps en temps mais de façon très espacée. Alors que l’argentique c’était un investissement en permanence : quand il n’y avait plus de pellicule ou de produits, il fallait en racheter. Tu balançais en permanence de l’argent. Et puis il y avait le côté inconnu : tu shootes mais tu peux te retrouver avec une pellicule entière grillée parce que tu n’as pas fait les bons réglages. Certains diront que c’est comme ça qu’on repérait les bons mais, non, je regrette. Même les très bons peuvent se planter dans les réglages, surtout en conditions de reportage. Quand tu n’as ni les moyens de voir ce que tu fais ni le temps de faire nombre de mesures ou de calculs, tu peux te prétendre le meilleur de la planète, tu peux quand même gaufrer une pellicule. Faut pas se leurrer. Quand tu vois un gars comme Raymond Depardon, tu connais sans doute l’histoire de sa photo de notre Président actuel qui ressemble à tout sauf à un cliché de maître, tu te dis que même un grand nom de la photographie se trompe parfois. C’est une piètre photographie amateur, n’importe qui aurait pu la faire tellement c’est ridicule. Pourtant, quand il raconte le nombre de photos qu’il a pris, ainsi que la débauche de moyens techniques, pour avoir juste ce cliché de qualité médiocre ! Concrètement, ce qu’il y a de mieux entre argentique et numérique est un débat erroné. Quant à ce que je préfère, je dirais le numérique : pour ce que je fais en terme de live, ça apporte un confort indéniable. Tu peux adopter les meilleurs réglages très rapidement puisque tu as un retour de tes photos directement sur l’écran. Dans les conditions difficiles du reportage, avoir ce retour vaut de l’or. Maintenant, évidemment que j’ai pris un monstre pied à faire de l’argentique mais je ne faisais pratiquement pas de live. J’ai deux pellicules photos de concerts.


Question indiscrète, toujours sur le matériel : avec quoi travailles-tu ?

Deux Nikon D800, la gamme des trois zooms à ouverture constante f:2.8 de la marque (14-24, 24-70 et 70-20 mm) et le 85 mm f:1.4, toujours chez Nikkor. En focale fixe encore, j’avoue que le 35 ou le 50 mm f:1.4 de la gamme ART chez Sigma me font de l’oeil !


Tu n’es pas que photographe de live mais aussi portraitiste et photographe de mariage. Ceci dit, on a l’impression que tu prends plus ton pied sur de la photo de concert : il y a une passion pour la musique cachée derrière les photos ?

Évidemment, la musique c’est toute ma vie. J’ai fait de la musique avant la photographie. J’ai commencé tardivement, vers l’âge de 15 ans. J’ai été bassiste pendant une quinzaine d’année et j’ai eu quelques groupes sans prétention. À 20 ans, j’ai organisé mon premier concert, mon premier festival. Ce fut la première fois où je me suis rendu compte que je prenais plus mon pied derrière la scène que dessus. Ça a été un premier pas en arrière face à ma vie de musicien. La même année, j’ai fait ma première pellicule, un second pas en retrait. Derrière, j’ai été président ou administrateur d’associations musicales organisant divers événements, j’ai géré des cafés-concerts ou artistiques. Je baigne dedans. Le premier groupe qui m’a fait tomber dans cette grosse marmite qu’est le rock, c’est The Police, j’avais 7 ans : 1979, Message in a Bottle. C’est marrant parce qu’il passait à la radio en venant ici. À l’époque, la radio passait de bonnes choses dont beaucoup de rock. Donc oui, je suis très attaché à la musique et c’est là où je prends le plus mon pied.
Par contre, si je fais aussi du mariage ce n’est pas uniquement pour gagner ma vie. Certes, la photographie de live ne nourrit pas vraiment son homme ; il va falloir que je sois encore patient mais, si le mariage ou le portrait n’étaient qu’un gagne-pain, je ne le ferais pas. J’y prends aussi du plaisir. Je suis attaché à l’humain, à l’émotion et quel est le meilleur endroit pour en avoir ? Il y a des mariés qui m’ont vu pleurer à leur mariage. Il y a eu des moments où je n’arrivais plus à prendre de photos pendant une ou deux minutes : j’avais les yeux tellement mouillés que je ne voyais plus rien. D’autres à tomber dans un gros fou rire parce que le marié fait une grimace, raconte une connerie et que je n’en peux plus. C’est plein d’anecdotes et d’émotions géniales.
Après, le live et le rock… C’est aussi parce que je suis très attaché aux artistes eux-mêmes, au-delà de la musique. C’est encore l’humain qui me rattache à ça. J’ai forcément des liens avec eux, j’ai vécu la même chose. Le fait de photographier ces artistes sur scène me rappelle que je l’ai été aussi et me remonte des sensations, des émotions que j’ai vécues aussi.Tout mon travail est basé sur l’émotion. Regarde mes photos : la plupart du temps ce sont des portraits rapprochés. C’est cela que je cherche avant tout.

Justement, parlant de live. Tu as dit tout à l’heure que photographe événementiel ne fait pas gagner son pain. Est-ce que le fait d’avoir déjà un peu les pieds dans le milieu musical t’as aidé ou absolument pas ?

Ce n’est pas ce réseau qui m’a aidé. J’ai attaqué la photo de live bien après mes aventures associatives ou de gérant de café-concert. Mes premières photos de concerts à proprement parler, à part les rares pellicules, c’était en 2007. Or, le dernier lieu que j’ai géré c’était en 2000. Donc, mon réseau… Ce qui m’a aidé auprès des artistes, je pense, c’est le fait d’avoir été pendant longtemps musicien. Du coup, je fais partie de leur famille. D’être d’abord et avant tout à leur service et celui de leurs émotions m’a aidé. Je ne suis pas là pour me montrer. Je suis une personne plutôt timide et ça m’a parfois coûté cher, cette réserve. Quand j’arrive en loge et qu’ils m’accueillent, là où la plupart des photographes voient le moment exclusif, mon appareil est en berne, je ne prends pas de photos de ces instants-là, sauf dans certains cas bien particuliers. Je respecte ces moments et je pense que ça crée une relation de confiance.

C’est tout à ton honneur. En feuilletant principalement les photos de concert, j’ai vu beaucoup de noir et blanc ou alors de couleurs très vives.

C’est tout ou rien, oui ! Après, le fait qu’il y ait beaucoup de noir et blanc… C’est simplement que quinze ans d’argentique en noir et blanc, ça laisse quelques traces ! Concernant les couleurs et les contrastes très rentre-dedans, c’est un parti pris, ma vision de la vie. Pour moi la vie est quelque chose de fort et d’intense. Mes traitements photographiques en sont une représentation.

Il y a un gros travail sur les photos après la prise de vue ?

Juste une chose, qu’on soit clair sur une notion en photographie : une retouche, c’est quand tu ajoutes ou retires un élément de la photo. Le traitement, c’est travailler la luminosité, le contraste et la balance des couleurs, par exemple. Les deux se pratiquaient déjà dans les labos. Ce que je fais est de l’ordre du traitement. C’est très rare que je retouche une photo : juste pour enlever un bouton sur le front d’un modèle ou un spot qui gâche une photo de live super épurée. Par exemple, sur la photo de Dionysos où Mathias Malzieu slame dans le public qui crée une super belle masse homogène, il y avait quelqu’un qui filmait avec son iPhone. Là, j’ai retouché, effacé cette tâche blanche en plein milieu qui gênait la lecture de la photo. Je fais donc surtout du traitement. Est-ce qu’il y en a beaucoup ? Oui, évidemment il y en a pas mal. Beaucoup, non, pas forcément. Ça dépend de la qualité et des conditions de la prise de vue mais ce n’est jamais la surenchère aux effets. J’essaie toujours de respecter l’esprit de ce que j’ai vu. Pour moi c’est important. Par contre, il y a quand même du boulot car, pour moi, une photo sortant d’un appareil, même numérique, reste un négatif. Beaucoup de photographes aujourd’hui, notamment dans la presse, balancent des photos quasiment brutes. Selon moi, ils n’ont fait que la moitié du travail. Moi qui ai envie d’apporter une notion plus artistique au reportage, je ne peux pas me contenter du brut. On m’a dit plusieurs fois que j’ai un traitement assez pictural, qui fait BD sur certains clichés. Je n’ai pas d’influence dans la BD, je n’en lis pas mais pourquoi pas. Je n’y réfléchis pas trop. Il y a pas mal de post-production, c’est sûr.


Bien. Il paraît que le lien entre le photographe et le modèle ajoute quelque chose à la photo : tu es d’accord avec ça ?

Il rajoute toujours un énorme plus. Pour ce qui est de la photographie de live, on me demande souvent si je photographie tous les groupes qui jouent ou uniquement ceux que j’aime. Je réponds évidemment que je shootes ceux que j’aime ou que je suis susceptible d’aimer, parce que je vais aussi à la découverte. Par contre, il m’est arrivé d’être déçu par un groupe que je ne connaissais pas ou une première partie. Dans ces cas-là, mon appareil est très vite en berne parce que je ne suis plus inspiré. Je ne me force pas pour éviter de faire des photos moyennes qui ne serviront ni aux groupes, ni aux spectateurs, ni à moi. Ça ne parlera à personne. En live, il y a plusieurs ingrédients qui vont faire que la photo est bonne. L’esprit dans lequel je suis, il faut que j’aime ce qu’il se passe, je vais aussi avoir besoin de « complicité » avec l’artiste, qu’il se donne sur scène, qu’il soit expressif et il faut qu’il y ait le public derrière. Pour moi, il est super important. Même quand il y a un pit (NDLR : « carré » réservé aux photographes lors d’événements), il m’arrive souvent d’aller dans la fosse avec le public. J’ai besoin de ce contact-là. Après, il y a certains concerts où je ne rechigne pas sur le pit, appréciable selon l’agitation, dans la foule comme sur scène. Enfin, j’ai quand même besoin d’être poussé, comme l’artiste sur scène qui va être plus enjoué si le public est là à le porter. En plus, si les techniciens, notamment au niveau des lumières, ont fait un super travail, c’est aux petits oignons. Donc oui, la relation et le lien que tu as avec les différents protagonistes (en live en tous cas) et pas uniquement avec le modèle, est importante. Il en est de même quand je shoote en mariage ou avec des modèles. En général, je fais en sorte de rencontrer la personne avant pour sympathiser. Le jour de la séance, tout le monde est décontracté et il y a une complicité, peut-être éphémère mais bien réelle, une certaine confiance. Le travail est bien meilleur dans ces cas-là.


On arrive à la « minute promotion » : si tu as des expos à venir, si tu participes à un événement, c’est le moment ou jamais !

La prochaine expo prévue est pour le mois de septembre au Gibus Café à Paris (Oberkampf). Le vernissage aura lieu lundi 1er septembre 2014 dès 18h30, le lieu me laisse carte blanche sur la programmation musicale de la soirée, il y aura donc des surprises ! Je n’ai rien d’autre à dire pour ma défense !


Eh bien merci beaucoup, en espérant que tes expos rencontrent le succès qu’elles méritent !

Merci à toi !



Liens :

Facebook : The Tatooed Lady


@aleksduncan


En-tête : Punish Yourself (Concert aux Abattoirs à Bourgoin-Jallieu)

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