Comme le titre vous l’a peut-être laissé deviner, je suis perplexe. Pourtant, je pensais miser sans risque sur une lecture sûre. Déjà, un livre de Malika Ferdjoukh. J’adore cette autrice, son humour et son amour des prénoms alambiqués. J’étais d’autant plus enthousiaste que « Griffe » est un roman policier. Ô joie, Ô bonheur, j’adore les romans policiers. Ce cocktail ne pouvait que faire des étincelles.
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Jack a lu (2) : Le Sang des Belasko
Au centre du roman « Le Sang des Belasko », de Chrystel Duchamp, se tient une famille marquée par un décès. Mais quand la fratrie se réunit, cette situation déjà pénible se transforme en huit-clos qui révèle soupçons et frustrations. Mademoiselle Jack revient sur sa lecture de ce polar dans un nouvel épisode de Jack a lu.
Avec quelle lecture commencer l’année ?
Avec quelles lectures commencer l’année ? C’est peut-être un détail pour vous, mais pour moi ça veut dire beaucoup. Franchement, commencer l’année avec un livre médiocre, c’est un coup à me donner le cafard pendant des semaines. J’ai voulu jouer la sécurité en choisissant un livre classé depuis un certain temps sur ma pile à lire : « La Papeterie Tsubaki », de Ito Ogawa.
Comment continuer après un succès ?
C’est la question que je me suis posée en voyant que Christelle Dabos revenait avec un nouveau livre intitulé Ici et seulement ici.
Contes sans frontières
Il paraît qu’il ne faut pas juger un livre à sa couverture. Quand j’ai jeté un coup d’oeil à la couverture de « The Magic Fish », de Trung Le Nguyen, je me suis dit que j’allais passer un agréable moment de lecture, en profitant de belles illustrations. J’avais tort. Cette BD représente beaucoup plus et le dessin est absolument somptueux. L’auteur aborde ici avec délicatesse et finesse les thèmes de l’immigration, de la transmission, de la famille et de l’homosexualité en s’appuyant sur l’un des plus beaux exemples de tradition orale et universelle : les contes.
La méthode Kevin Tran
Je ne sais pas vous, mais j’ai souvent eu du mal à aller au bout de mes projets. En fait, je peux compter sur les doigts d’une main (de Django Reinhardt) le nombre de projets, d’idées ou d’envies que j’ai réussi à pousser jusqu’au bout. Pourquoi ? Déjà parce que je me décourage aussi vite que je m’enthousiasme, mais aussi parce que je suis une procrastinatrice patentée. J’irais bien réclamer une médaille de la procrastination, ou du moins un diplôme…mais pas aujourd’hui. Demain, j’irai. Là, j’ai la flemme. Vous voyez le tableau…
Derrière la perfection
TW:TCA | Val vit aux États-Unis. Lycéenne, elle est aussi la benjamine de sa famille et plutôt bonne élève. Quelques ami.es gravitent autour d’elle. D’un point de vue extérieur, l’adolescence semble bien se passer. La jeune fille est toutefois touchée par un trouble du comportement alimentaire qui l’amène à calculer à outrance le nombre de calories qu’elle peut ingérer et à se faire vomir après les repas.
Alice et l’embaumeur
Alice est une thésarde un peu perchée qui bosse sur le métier de thanatopracteur. Sylvain Bragonard est l’un de ses cas d’étude. Le cinquième. Il a l’air d’avoir accepté de se prêter au jeu de mauvaise grâce, d’ailleurs. En dehors d’un certain mutisme, Sylvain se distingue par sa perception. Il déchiffre tous les défunts dont il s’occupe à travers un lexique de fragrances caractéristiques de leur vivant.
Jack a lu (1) : La maîtresse des épices
Là, assise dans son fauteuil, elle se gratte la tête. Le volume sur ses genoux est terminé et une question accompagne la couverture refermée. « Et maintenant, qu’est-ce que je lis ? » Elle, c’est Mademoiselle Jack, qui vous emmène faire un tour dans sa bibliothèque mentale. Bienvenue dans le premier épisode de ‘Jack a lu’, consacré à La maîtresse des épices, de Chitra Banerjee Divakaruni.
Une Kaori qui s’ignore ?
Japon, XXIIIe siècle. Kaori Yoshida passe le plus clair de son temps en ligne. Dans sa vie professionnelle, participant aux développements de mondes virtuels, et dans sa vie privée. Notre héroïne est du genre extrêmement anxieuse et porte une phobie sociale sévère. Moralité ? La vie est plus facile à gérer dans sa déclinaison virtuelle. Jusqu’à l’arrivée d’une charmante historienne et d’un lot d’ennuis au travail qui bouleverseront son équilibre. Retour sur la lecture du roman « Inline », de Lena Clarke, publié aux éditions Reines de Coeur.
Quand le coup de cœur s’impose
C’est une recommandation de lecture attrapée au vol. Elle se cachait dans une conversation et a bondit, légère comme une plume et rapide comme l’éclair. Je l’ai retenue un instant, puis laissée filer. Fort heureusement, l’ouvrage m’est tombé dans les mains quelques semaines plus tard. Et j’ai pu ainsi découvrir Timothé Le Boucher. Et quelle découverte. Quelle belle rencontre. Mais je m’égare, revenons-en au début et surtout à l’ouvrage.
Devenir
Et non, on ne va pas parler de Michelle Obama, mais de la première bande-dessinéee de l’illustratrice Joanna Folivéli. Elle est arrivée dans ma bibliothèque à la fin de l’automne. C’est tout à fait une façon détournée de reconnaître que j’ai plus que pris mon temps pour vous en parler ! La BD, éditée par l’association Deux Points Éditions, aborde les réflexions et l’expérience de femme trans de l’artiste dans un monde qui n’est pas toujours évident à naviguer.
