Voilà déjà quelques temps que je parle de remettre le nez dans le domaine des mangas. « The Last Kamit », créé par Michael Damby et Dwen Uno, a été la porte d’entrée parfaite. Ils font se croiser comics et manga. La série, qui se déroule à travers l’Afrique, propose un univers extrêmement riche. Elle est portée par Dashicray Production Publishing Studio, qui le qualifie d’afromanga.
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Jack a lu (5) : Le bureau des affaires occultes
Et c’est avec Le Bureau des affaires occultes, d’Éric Fouassier que notre série « Jack a lu » touche à sa fin. Notre lectrice olympique échange en effet son badge pour prendre celui de Theomus. Elle nous parle aujourd’hui d’une lecture avec laquelle la relation a été… Compliquée ! Sans plus de divulgâchis, découvrez ce dernier retour de lecture de la série !
Jack a lu (2) : Le Sang des Belasko
Au centre du roman « Le Sang des Belasko », de Chrystel Duchamp, se tient une famille marquée par un décès. Mais quand la fratrie se réunit, cette situation déjà pénible se transforme en huit-clos qui révèle soupçons et frustrations. Mademoiselle Jack revient sur sa lecture de ce polar dans un nouvel épisode de Jack a lu.
Devenir
Et non, on ne va pas parler de Michelle Obama, mais de la première bande-dessinéee de l’illustratrice Joanna Folivéli. Elle est arrivée dans ma bibliothèque à la fin de l’automne. C’est tout à fait une façon détournée de reconnaître que j’ai plus que pris mon temps pour vous en parler ! La BD, éditée par l’association Deux Points Éditions, aborde les réflexions et l’expérience de femme trans de l’artiste dans un monde qui n’est pas toujours évident à naviguer.
Chienne de vie
“My Broken Mariko” est un trigger à lui tout seul. Conçu par Waka Hirako, ce manga aborde coup sur coup la mort, le suicide, les violences familiales, les violence conjugales et le viol. La lecture a quelque chose du virage pris beaucoup trop vite, de la descente de montagne-russe trop violente, qu’on arrêterait pourtant pour rien au monde.
Neige amère
Il y a quelque temps, je m’embourbais dans la lecture d’un livre agréable qui mettait un temps fou à démarrer. Il n’avait pas de défaut particulier, en dehors de celui-ci, et m’a fait passer des heures agréables. Pourtant, je ne pouvais m’empêcher de regarder ailleurs. Et, dans un moment de faiblesse, j’ai fini par céder. Je me suis détournée du droit chemin. J’ai trompé mon ennui avec un autre livre. Celui dont nous allons parler aujourd’hui : La Classe de Neige, d’Emmanuel Carrère.
50 nuances de bof
Il y a de bons livres. Qui vous marquent. Qui vous transportent. Qui vous émeuvent, comme Le Cirque des rêves, d’Erin Morgenstern (vraiment, lisez ce livre). Il y a aussi de mauvais livres, qui vous tombent parfois des mains avant même la fin de l’histoire. Des livres qui vous ennuient profondément, qui vous agacent et parfois même vous énervent par leur médiocrité, leur vide, leur absence totale d’intérêt.
La folie des grands espaces
Dans « Les Mangeurs d’argile » de Peter Farris, tout commence par une chute. Un banal accident, en apparence, mais si les choses étaient ce qu’elles semblent être, il n’y aurait pas d’histoire, n’est-ce pas ?
Dans le secret des reines
« Une cour sans femme, c’est comme un jardin sans fleur », disait François Ier, dont les multiples butinages sont restés dans les annales. C’est aussi l’une des citations qui ouvrent le livre de Bernadette de Castelbajac, dédié aux (très) nombreuses dames et demoiselles d’honneur ayant servi les reines de France, depuis Isabeau de Bavière, épouse de Charles VI jusqu’à Marie-Antoinette.
Figure paternelle
C’est le renard qui m’a attiré l’œil. Dans la librairie, la bestiole me faisait signe avec son museau pointu et son air un peu narquois. Et puis mes yeux sont passés du héros à la tempête infernale sur ses épaules. En retournant le livre, j’ai compris que je m’engageais dans une histoire de famille difficile, racontée avec beaucoup de poésie.
